Conférence de presse du 20 mai 2024 tenue par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Wang Wenbin |
2024-05-20 23:00 |
Reuters : J’ai noté deux points soulevés par le porte-parole du Conseil national de sécurité des Philippines, Jonathan Malaya, lors de la conférence de presse d’aujourd’hui. Premièrement, Monsieur Malaya a déclaré qu’il y avait un consensus croissant au sein du gouvernement philippin sur la nécessité de porter plainte contre la Chine pour la destruction des récifs coralliens, y compris la pêche de palourdes géantes menacées d’extinction, dans la mer de Chine méridionale. Deuxièmement, Monsieur Malaya a également commenté les règlements publiés par les garde-côtes chinois la semaine dernière, affirmant que la Chine n’avait aucune autorité sur la haute mer et que les derniers règlements allaient à l’encontre du droit international. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ? Wang Wenbin : En ce qui concerne votre première question, j’ai pris note de rapports médiatiques antérieurs indiquant que, selon certaines personnes aux Philippines, de grandes quantités de récifs coralliens entourant Zhongye Dao sont gravement dégradés, que les dommages sont causés par l’homme et que le seul suspect est la Chine. Je tiens à souligner que la Chine exerce une souveraineté incontestable sur les Nansha Qundao, y compris Zhongye Dao, et leurs eaux adjacentes. Les Philippines ont illégalement occupé Zhongye Dao, qui fait partie de la Chine, et ont fréquemment mené des activités dans les eaux adjacentes de Zhongye Dao. Si une dégradation de l’environnement apparaît dans ces eaux, les Philippines devraient réfléchir à leur comportement, au lieu d’accuser à tort la Chine. En ce qui concerne votre deuxième question, les règlements sont mis en œuvre par les gardes-côtes chinois afin de normaliser les procédures administratives d’application de la loi par les agences des gardes-côtes et de mieux faire respecter l’ordre en mer. Cela est conforme aux pratiques universelles. Les individus et les entités n’ont pas à s’inquiéter tant qu’ils n’ont rien fait d’illicite. Agence de presse Xinhua : Pourriez-vous nous donner plus de détails sur la visite du ministre des Affaires étrangères Wang Yi au Tadjikistan ? Wang Wenbin : À l’invitation du ministre des Affaires étrangères du Tadjikistan, Sirojiddin Muhriddin, Wang Yi, membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois et ministre des Affaires étrangères, a effectué une visite officielle au Tadjikistan. Au cours de cette visite, le ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré le président du Tadjikistan Emomali Rahmon et s’est entretenu avec le ministre des Affaires étrangères Sirojiddin Muhriddin. Les deux ministres des Affaires étrangères ont signé des documents de coopération entre les deux ministères des Affaires étrangères et ont rencontré conjointement la presse. Le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, a déclaré au cours de la rencontre et des entretiens que, quelle que soit l’évolution du paysage international, la Chine sera toujours un ami et un partenaire digne de confiance pour le Tadjikistan. La Chine est disposée à développer davantage ses échanges commerciaux avec le Tadjikistan, à exploiter le potentiel de la connectivité, à faire progresser la coopération dans le domaine des ressources minérales et à explorer de nouveaux domaines de coopération tels que les énergies nouvelles et la transformation verte. La Chine aidera le Tadjikistan à accélérer l’industrialisation, à améliorer le développement socio-économique, à s’engager avec succès sur la voie du développement et de la revitalisation, et à apporter des avantages tangibles au peuple du Tadjikistan. La partie tadjike a fait remarquer que la Chine est un partenaire stratégique important et du Tadjikistan, et que la promotion de ses relations avec la Chine est une priorité de sa politique étrangère. Comme toujours, le Tadjikistan adhère fermement au principe politique d’une seule Chine, considère Taïwan comme une partie inaliénable du territoire chinois, s’oppose à toute forme d’« indépendance de Taïwan » et soutient le gouvernement chinois dans tous ses efforts pour parvenir à la réunification du pays. Les deux parties ont affirmé que sous la direction stratégique du président Xi Jinping et du président Emomali Rahmon, la Chine et le Tadjikistan avaient établi un partenariat stratégique global dans un esprit de bon voisinage et d’amitié, et avaient également annoncé la construction d’une communauté de sécurité Chine-Tadjikistan et d’une communauté de développement conformément à la tendance de l’époque, sur la base desquelles ils ont convenu de construire une communauté d’avenir partagé Chine-Tadjikistan. Les deux pays ont choisi de fonder leur entente en tant que pays voisins sur des bases de respect mutuel, d’égalité de traitement, de bénéfices mutuels et de résultats gagnant-gagnant, et ont ainsi établi un excellent exemple pour le développement des relations entre les États. À l’avenir, les deux parties ont convenu de se concentrer sur le développement de leur coopération dans les domaines suivants : Premièrement, les deux parties continueront à se soutenir avec fermeté sur toutes les questions relatives à leurs intérêts fondamentaux respectifs. Deuxièmement, les deux parties continueront à exploiter leur vaste potentiel de coopération mutuellement profitable. Troisièmement, les deux parties sont prêtes à accélérer les échanges bilatéraux entre les deux peuples. La Chine se réjouit de l’annonce par le Tadjikistan de la mise en œuvre d’une politique d’exemption de visa de 14 jours pour les citoyens chinois éligibles et invite davantage de jeunes tadjiks à étudier et à poursuivre leurs études en Chine. Quatrièmement, les deux parties préserveront résolument la sécurité et la stabilité régionales. Les deux pays vont approfondir la coopération en matière de lutte contre le terrorisme, intensifier la lutte contre les « trois forces » que sont le terrorisme, le séparatisme et l’extrémisme, renforcer le contrôle des frontières, renforcer leurs échanges et leurs consultations sur la contre-intervention, et se protéger collectivement contre les « révolutions de couleur ». La Chine soutient la création d’un centre antidrogue à Douchanbé dans le cadre de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Cinquièmement, les deux pays maintiendront une étroite collaboration au niveau multilatéral. Les deux parties devraient travailler ensemble pour améliorer et renforcer le mécanisme Chine-Asie centrale, renforcer leur collaboration au sein des enceintes multilatérales comme les Nations Unies et l’OCS, et pratiquer un véritable multilatéralisme et promouvoir une multipolarisation égale et ordonnée ainsi qu’une mondialisation économique inclusive et bénéfique pour tous. Le Tadjikistan soutiendra pleinement la Chine dans l’exercice de la présidence tournante de l’OCS. China Daily : Le 17 mai, la rapporteuse spéciale du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur l’impact négatif des mesures coercitives unilatérales sur la jouissance des droits de l’homme, Alena Douhan, a tenu un point de presse à Beijing à l’occasion de sa visite en Chine et a appelé les pays concernés à lever les sanctions unilatérales appliquées à la Chine. Quel est votre commentaire à ce sujet ? Wang Wenbin : À l’invitation de la Chine, la rapporteuse spéciale du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur l’impact négatif des mesures coercitives unilatérales sur la jouissance des droits de l’homme, Alena Douhan, s’est rendue en Chine du 6 au 17 mai. Elle a visité Beijing, le Xinjiang ainsi que Shenzhen, et a eu des échanges de vues avec les institutions gouvernementales, les entreprises, les associations commerciales et les organisations non gouvernementales concernées. Lors de la dernière étape de sa visite, elle a tenu un point de presse à Beijing pour présenter sa visite en Chine. Elle a souligné que les sanctions unilatérales ne devraient pas être utilisées comme des outils de politique étrangère et des moyens de coercition économique, et que les sanctions unilatérales des pays concernés contre la Chine violent le droit international et ont un impact négatif sur les droits de l’homme. Ces pays devraient lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de la Chine. Les sanctions unilatérales constituent une violation grave des objectifs et des principes de la Charte des Nations Unies, ainsi que des normes fondamentales régissant les relations internationales. Ces sanctions violent gravement les droits de l’homme et perturbent la coopération internationale en matière de développement. La Chine s’y oppose fermement. Nous appelons les pays concernés à tenir compte du juste appel de la communauté internationale et à lever immédiatement toutes les sanctions unilatérales illicites. La Chine est disposée à intensifier la communication avec les mécanismes des droits de l’homme des Nations Unies et d’autres parties afin d’améliorer conjointement la compréhension par la communauté internationale de la nature illicite et du danger des sanctions unilatérales et de s’efforcer d’éliminer leur impact négatif sur les pays du monde entier pour promouvoir conjointement le développement sain de la cause des droits de l’homme au niveau international. Anadolu Agency : Le nouveau dirigeant de Taïwan, Lai Ching-te, a été investi aujourd’hui. Dans son premier discours, il a déclaré que la Chine et Taïwan n’étaient pas subordonnées l’une à l’autre et a insisté sur la souveraineté de Taïwan. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ? Wang Wenbin : Je vous recommande de consulter les services compétents chinois pour les questions spécifiques. Je tiens à insister sur le fait que l’« indépendance de Taïwan » ne mène nulle part. Quelle que soit la bannière ou le prétexte utilisé par les séparatistes, l’« indépendance de Taïwan » est vouée à l’échec. Shenzhen TV : Nous avons noté que le 16 mai, le 33e sommet de la Ligue arabe s’était tenu et que les États arabes avaient inscrit l’adhésion ferme au principe d’une seule Chine dans la résolution du sommet. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ? Wang Wenbin : Les États arabes ont inscrit l’adhésion ferme au principe d’une seule Chine dans la résolution du sommet de la Ligue arabe, ce que la Chine apprécie hautement. Cela montre que les États arabes défendent fermement la Charte des Nations Unies et les normes fondamentales régissant les relations internationales, et démontre une fois de plus que le principe d’une seule Chine est la bonne chose à faire et bénéficie d’un large soutien de la communauté internationale. La Chine et les États arabes sont de bons amis et partenaires. La Chine est disposée à travailler avec les États arabes pour se soutenir fermement sur les questions concernant leurs intérêts fondamentaux respectifs et leurs préoccupations majeures, défendre l’équité et la justice, approfondir la coopération mutuellement bénéfique et élever les relations entre la Chine et les États arabes à un nouveau niveau. CCTV : Depuis quelque temps, certains aux États-Unis diffusent des affirmations qui déforment la résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations Unies, en disant que la résolution n’a pas pris de décision sur le statut de Taïwan et n’empêche pas une participation significative de Taïwan dans le système des Nations Unies. Quel est votre commentaire à ce sujet ? Wang Wenbin : Taïwan n’est pas un pays. Elle est une partie inaliénable du territoire chinois depuis l’Antiquité. La communauté internationale est parvenue depuis longtemps à cette conclusion. Il s’agit d’un élément essentiel de l’ordre international de l’après-Seconde Guerre mondiale. La Déclaration du Caire de 1943 exige explicitement que tous les territoires que le Japon a volés aux Chinois, comme la Mandchourie, Formose (Taïwan) et les îles Pescadores (Penghu), soient restitués à la Chine. La Déclaration de Potsdam de 1945 stipule en outre que les termes de la Déclaration du Caire seront appliqués. Le Japon, tant dans l’instrument de capitulation japonais de 1945 que dans le communiqué conjoint Chine-Japon de 1972, s’est engagé à respecter la clause susmentionnée de la Déclaration de Potsdam. Que ce soit en termes juridiques ou factuels, Taïwan est une partie inaliénable de la Chine. La résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations Unies a réglé la question de savoir qui devait représenter l’ensemble de la Chine, à savoir que le gouvernement de la République populaire de Chine est le seul gouvernement légal représentant l’ensemble de la Chine, y compris Taïwan, aux Nations Unies. La résolution indique clairement qu’il n’y a qu’une seule Chine dans le monde et que Taïwan fait partie de la Chine et est une entité non souveraine. Elle réaffirme le principe d’une seule Chine. Depuis l’adoption de la résolution il y a plus d’un demi-siècle, les secrétaires généraux des Nations Unies et leurs porte-parole, dans leurs remarques relatives à Taïwan, ont clairement indiqué que les Nations Unies étaient guidées par la résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations Unies et attachées au principe d’une seule Chine. Les avis juridiques officiels du Bureau des affaires juridiques du Secrétariat des Nations Unies ont clairement indiqué que Taïwan fait partie intégrante de la Chine et que les Nations Unies considèrent Taïwan comme une province de la Chine sans statut indépendant. Le nombre de pays ayant établi des relations diplomatiques avec la Chine sur la base du principe d’une seule Chine est passé de plus de 60 à 183. Tout cela démontre clairement que le principe d’une seule Chine est non seulement un consensus international dominant, mais aussi une norme fondamentale régissant les relations internationales. Certains aux États-Unis prétendent que la résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations Unies ne s’est pas prononcée sur le statut de Taïwan et n’exclut pas une participation significative de Taïwan au système des Nations Unies. C’est un mensonge. Ils tentent de faire du tapage autour de la question de Taïwan en tant que partie de la Chine, une question déjà réglée depuis longtemps par la communauté internationale une fois pour toutes, pour nier la résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations Unies et le principe d’une seule Chine. Cette démarche, qui fait reculer la roue de l’histoire, constitue un défi non seulement à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de la Chine, mais aussi à la justice et à la conscience internationales, ainsi qu’à l’ordre international de l’après-Seconde Guerre mondiale. C’est extrêmement absurde et dangereux. La Chine parviendra et devra parvenir à la réunification. Personne ni aucune force ne peut l’en empêcher. Notre avertissement à certains aux États-Unis : La tendance du monde va de l’avant. Ceux qui suivent la tendance prospéreront ; ceux qui vont à l’encontre de la tendance périront. Ceux qui contestent le principe d’une seule Chine finira par être englouti par la tendance de l’époque ; ceux qui font reculer la roue de l’histoire seront écrasés par elle. AFP : Quelle est la réaction du gouvernement chinois à la mort du président iranien ? Wang Wenbin : Le président Xi Jinping a envoyé un message de condoléances au premier vice-président iranien Mohammad Mokhber à la suite du décès malheureux du président iranien Ebrahim Raïssi dans un accident d’hélicoptère. Au nom du gouvernement et du peuple chinois, le président Xi Jinping a adressé ses profondes condoléances et a exprimé sa sincère sympathie à Mohammad Mokhber, à la famille du président Ebrahim Raïssi, et aux gouvernement et peuple iraniens. Le président Xi Jinping a indiqué que depuis l’entrée en fonction du président Ebrahim Raïssi, il avait apporté d’importantes contributions au maintien de la sécurité et de la stabilité de l’Iran et à la promotion du développement et de la prospérité du pays. Il a ajouté que Ebrahim Raïssi avait également fait des efforts positifs pour consolider et approfondir le partenariat stratégique global Chine-Iran. Le décès tragique d’Ebrahim Raïssi est une grande perte pour le peuple iranien, et le peuple chinois a également perdu un bon ami. Le gouvernement et le peuple chinois chérissent l’amitié traditionnelle entre la Chine et l’Iran. Il s’est dit convaincu qu’avec les efforts conjoints des deux parties, le partenariat stratégique global Chine-Iran continuerait à se consolider et à se développer. La Chine exprime également ses profondes condoléances pour le décès malheureux du ministre des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian et présente sa sincère sympathie à sa famille. Après l’accident, la Chine a suivi de près la situation et s’est déclarée disposée à apporter tout le soutien et l’assistance nécessaires à l’Iran. La Chine soutient fermement le gouvernement et le peuple iraniens dans la sauvegarde d’indépendance, de stabilité et de développement, et est disposée à travailler avec l’Iran pour approfondir le partenariat stratégique global Chine-Iran. CCTV : Lors de récents événements d’échanges amicaux, des dirigeants de divers pays et organisations internationales ainsi que des personnalités amies des divers milieux sociaux ont ouvertement déclaré leur adhésion au principe d’une seule Chine, leur soutien aux efforts de la Chine pour défendre sa souveraineté et son intégrité territoriale, ainsi que leur opposition au séparatisme de l’« indépendance de Taïwan » et à l’ingérence extérieure dans les affaires intérieures de la Chine. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ? Wang Wenbin : Ces derniers jours, les dirigeants et les partis politiques des pays qui entretiennent des relations diplomatiques avec la Chine, des personnalités amies des divers milieux sociaux et des dirigeants de grandes organisations internationales ont participé à des activités d’échange amical organisées par la Chine pour passer en revue l’établissement des relations diplomatiques avec la Chine et les résultats de la coopération avec la Chine. Ils se sont tous exprimés d’une voix forte en faveur d’un engagement juste au principe d’une seule Chine et ont fait preuve d’une position ferme contre le séparatisme de l’« indépendance de Taïwan » et l’ingérence extérieure dans la question de Taïwan. Le principe d’une seule Chine est un consensus dominant au sein de la communauté internationale, une norme fondamentale régissant les relations internationales, ainsi que le fondement politique et la prémisse du développement des relations de la Chine avec les autres pays du monde. Les faits prouvent à maintes reprises que l’adhésion au principe d’une seule Chine fait l’objet d’un consensus général de la communauté internationale, et que c’est la bonne chose à faire et bénéficie d’un large soutien de la communauté internationale. L’écrasante majorité des pays et des organisations internationales et régionales du monde se tiennent fermement aux côtés du gouvernement et du peuple chinois pour soutenir la juste cause de la Chine qui s’oppose à l’« indépendance de Taïwan » et promeut la réunification. Je tiens à souligner qu’il n’y a qu’une seule Chine dans le monde. Taïwan est une partie inaliénable du territoire chinois. Le gouvernement de la République populaire de Chine est le seul gouvernement légal représentant l’ensemble de la Chine. Quelle que soit l’évolution de la situation politique de l’île de Taïwan, cela ne changera pas les faits historiques et juridiques selon lesquels il n’existe qu’une seule Chine dans le monde et Taïwan fait partie de la Chine, ni l’adhésion ferme de la communauté internationale au principe d’une seule Chine, et encore moins la tendance historique selon laquelle la Chine réalisera et devra réaliser la réunification. Les manipulations politiques et les manœuvres intéressées sur la question de Taïwan par certains politiciens dans quelques pays s’ingèrent gravement dans les affaires intérieures de la Chine et violent le principe d’une seule Chine. La Chine condamne fermement ces actes et prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre fermement sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale. Rien ne pourra entraver la marche de l’histoire. La poursuite de l’« indépendance de Taïwan » ne peut mener qu’à une impasse. L’ingérence extérieure dans les affaires intérieures de la Chine et l’encouragement et le soutien à l’« indépendance de Taïwan » ne mèneront nulle part. Utiliser Taïwan pour contenir la Chine est voué à l’échec. La juste cause du peuple chinois, qui s’oppose au séparatisme de l’« indépendance de Taïwan » et s’efforce de réunifier le pays, sera de mieux en mieux comprise et soutenue par la communauté internationale. Le jour viendra où la Chine sera entièrement réunifiée. |